Version JLN du 05/10/2012 07:10:40 approuvée par Richard Vialle

1. Richard Vialle, utilisant sa théorie, fait le rapprochement entre l’attraction électrostatique d’un électron par le noyau avec l’attraction gravitationnelle,
2. Ainsi, il définit une masse « électrique » équivalente résultant de la force d’attraction de l’électron par le noyau,
3. Richard Vialle applique les équations relativistes sur cette masse « électrique » de l’électron,
4. Ainsi donc, l’électron en orbite autour du noyau va être soumis à des fluctuations de sa vitesse et de son rayon orbital (autour de la valeur R_o, rayon de l’atome de Bohr),
5. Ces fluctuations de vitesse et de rayon vont positionner l’électron dans le nuage électronique,
6. L’énergie potentielle électrostatique et gravitationnelle de l’électron orbital étant constante, la trajectoire électronique de l’électron va fluctuer à une pulsation w₀, car chaque fois que l’électron voit son rayon orbital diminuer, il verra sa vitesse tangentielle augmenter et inversement,
7. Cette pulsation w₀ correspond à une fréquence calculée de f₀ = 16.7 MHz,
8. Ainsi donc, selon Richard Vialle, si on fait résonner l’électron orbital à cette fréquence f₀, il est possible de déformer l’orbite électronique et créer « un courant froid » dans le matériau conducteur.
9. Richard Vialle a démontré par le calcul que si le conducteur est soumis à un champ magnétique, sa composante scalaire va agir sur l’électron orbitant autour du noyau et déformer son rayon orbital en créant un champ électrostatique d’attraction de l’électron par le noyau. Le coefficient d’amplification de l’oscillation de rapprochement ou d’éloignement de l’électron au noyau est appelé « le coefficient de surespace ». Plus il est grand, plus on a de surunité. Le gain est maximal la fréquence f₀.
10. L’élongation synchrone à la fréquence n*f₀ (harmonique de f₀) de l’électron orbital va produire « un courant froid ». Ce « courant froid » n’est pas produit par un courant de déplacement électronique dans la matière mais simplement par une oscillation synchrone de l’ensemble des électrons orbitaux. Il ne produit pas d’échauffement (pas d’effet Joule) mais simplement un transfert d’énergie électrique dans tout le barreau conducteur (comme l’expérience du pendule de Newton démontrant le transfert d’énergie cinétique entre 5 billes)
11. Aux bornes du conducteur soumis à ce champ magnétique scalaire et en résonance va apparaître un champ électrique qui va faire circuler « un courant chaud », c’est à-dire un vrai courant électronique utilisable sur une charge résistive, dans un circuit fermé externe (circuit RLC + Rload).
12. La fréquence de fonctionnement de l’autogénérateur est calculée en fonction de la longueur du barreau conducteur. Plus le barreau est court plus la fréquence est élevée. Pour un barreau de 1m de long, la fréquence de résonance est de 3.6 MHz (résonance partielle). La fréquence f₀ n’a pu être encore expérimentée car cela ferait un barreau trop court et difficile de mettre en œuvre.
13. « L’énergie négative » utilisable est produite par le déséquilibre relativiste (variation de la masse m₀) de l’électron produit par sa variation de vitesse orbitale autour du noyau résultant de la variation de son rayon orbital. Cette «énergie négative » est l’énergie surunitaire utilisable.
14. Le barreau conducteur est coupé pour éviter que les électrons de conduction circulent (courant chaud) et pour ne laisser que les oscillations des électrons orbitaux (courant froid).